Fluo attend son heure

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il y a 4 ans

Les confidences érotique d’une soumise qui aime être bousculée en amour

J'avais un peu froid, ne serait ce qu'a l'idée d'être ainsi presque nue dans cette grande pièce. Mes boots, mes bas seulement avait-il précisé. Il me regardait silencieusement en tirant sur sa clope. Son visage ne trahissait aucune émotion particulière, mais il me paraissait plus dur et fermé qu'à l'accoutumée.

-"Allonges-toi là."

Il désignait la table basse devant lui. Je m'exécutais en souriant, un peu gênée tout de même. Se levant du fauteuil où il était assis, il contourna la table, m'examinant de haut en bas. Ses traits impassibles me faisaient douter de moi et baisser les yeux quand je manquais de croiser les siens.

D'un ordre et d'une claque sur la cuisse il me fit ouvrir davantage les jambes et bien m'arquer. Docilement je m'exécutais. Il prit son sexe entre ses doigts et commença à se caresser en me regardant, et en murmurant des mots très tendres et très osés. J'étais mal à l'aise de le voir s'exhiber ainsi devant moi, et craignais de plus en plus d'affronter son regard. Mais se rapprochant, il souleva ma tête d'une main et fit glisser son sexe dans ma bouche. Il le caressait contre mes joues, le frottait sur mes lèvres, faisait en sorte qu'il me fallait essayer de le happer sans jamais vraiment y parvenir. Presque instinctivement, j'avais fermé les yeux mais aussitôt il m'avait dit de les rouvrir. Je le voyais donc s’amuser de moi et me provoquer dès que je parvenais a la garder quelques instants dans ma bouche. Prise au jeu et au désir de lui plaire, j'essayais encore et encore et devenais de plus en plus réactive à ses gestes. Si bien que je finis presque par rester la bouche entrouverte, la langue tendue pour essayer d'atteindre le gland quand il s'approchait. Soudainement il cessa et me lâcha la nuque, m'ordonnant de ne pas bouger.

Du tiroir de la table il sortit une fine lanière de cuir et un godemiché en résine noire et brillante. Ma gêne et ma timidité ne firent que s'accentuer sous l'effet du sourire qu'il me lança alors et je n'osais absolument pas parler. Je l'aimais, exclusivement, et bien qu'à l'instant j'avais un peu peur je savais que j'avais toujours voulu cela. Je ne fis donc rien pour le contrer et restai là, sagement étendue. Avec la lanière il lia mes deux poignets en ramena mes bras vers l'arrière, afin que je ne puisse avec mes mains l'empêcher d'agir à sa guise.

Puis il me retourna sur le ventre en prenant soin de bien caler un coussin de soie doux et froid sous mon bas-ventre, surélevant ainsi mes fesses. Des ses deux mains il écarta doucement mes deux globes frémissants et me caressa. Il essayait d'assouplir mon sexe, entrouvrant régulièrement les lèvres de celui-ci du bout des doigts. Il le tapotait, le titillait, s'approchait chaque fois plus près de l'entrée de mon vagin par des mouvements circulaires puis retournait pincer mon clitoris. Petit à petit ma gêne avait cédé place à un lascif abandon de tout mon être. Voyant cette douce volupté me gagner, il me rappela à l'ordre de bien m'ouvrir par de petites fessées. A chacune, je me tendais et m'écartelais davantage.

-"Vois comme tu mouilles..."

Du bout des doigts il parcourait lentement le pourtour de ma vulve, l'humectant bien partout. Je sentais bien en effet couler mon plaisir de mes entrailles et ne pouvais (à son grand bonheur) réfréner ces petits écoulements qui me trahissaient.

Tirant ma tête en arrière, il enfonça son doigt baladeur dans ma bouche. Instinctivement, animalement, je le suçai avidement, reproduisant les mêmes gestes que si cela avait été son sexe. Il le remplaça alors par le godemiché, qui me parut soudainement froid et gros à côté. Il dut lire mes pensées, car il me notifia d'être plus appliquée. Je pris soin alors de parcourir lentement le gode de bas en haut avec ma langue, de juste dessiner du bout de celle-ci le gland et le prépuce, de l'engloutir aussi profond que possible au fond de ma gorge. Durant tout ce temps, il avait continuer à m'exciter et me caresser de façon de plus en plus pressante. Mon ventre et mon âme étaient unis dans la même idée : qu'il me prenne et me baise... Tandis que laissais ces mots flotter dans mon esprit, je sentais à nouveau la crainte m'envahir car je savais qu'il pouvait être très fougueux parfois. Lui me connaissait parfaitement et savais que je n'en pouvais plus de fondre sous ces attouchements.

Il aimait à me regarder dans l'attente, et c'était une des manières de me signifier que c'était mon Maître.

Les paroles qu'il prononçait en m'observant ainsi divaguer de plaisir étaient classiques, banales, vulgaires et très crues. Mais chaque fois elles m'excitaient tout autant qu'elles me mettaient mal à l'aise. J'haletais doucement sous ces douces injures, les mains liées devant moi, me faisant presque penser à une petite chienne en chaleur. Car maintenant, c'est moi qui ne pouvais m'empêcher d'aller me coller et me frotter contre sa main et son bras dès qu'il les éloignait, tout en essayant en même temps de continuer à sucer le god qu'il s'amusait aussi à retirer de ma bouche.

A un instant où j'étais justement là, la croupe et la nuque tendues en vain, il m'assigna à lui révéler mes pensées. Par fierté, peur d'être ridicule ou grossière je ne dis mot.

-"Bien, on va voir...."

Sans plus me toucher par ailleurs, il glissa son majeur dans mon sexe trempé, le faisant ensuite aller et venir tout doucement, jouer et naviguer contre les parois de mon vagin.

Les images qui me venaient à l'esprit étaient de plus en plus chaudes et désordonnées, mais je restais toujours muette.

Un second doigt vint se loger dans ma chatte, résolument, il fit équipe avec le premier pour écarter mon trou et y tâtonner sur toute leur longueur. J'étais son ruisseau, sa rivière, le lit qu'il visitait en toutes saisons.

-"Alors, tu ne peux pas nier, tu aimes cela. Dis-le."

-"J'aime ça", acquiesçai-je doucement.

-"Quoi, ça ??? Sois plus explicite."

Et il enfonça brutalement cette fois un troisième doigt, m'arrachant un gémissement.

-"Allez, j'attends !"

J'étais à peine audible... :

  • 'J'aime ça, tes doigts, être ta petite pute, baises-moi..."

-"Tu veux le gode?"

Avais-je le choix de la réponse? Pour rire, et le surprendre, j'osais un refus.

-"Mademoiselle s'amuse... Moi aussi !"

Il souriait. Ignorant donc ma réponse, il ôta ses doigts qu'il remplaça aussitôt par le godemiché. D'un volume bien supérieur aux trois compères précédemment réunis, lisse et doux en son sommet, de petits picots étaient moulés à sa base -légèrement évasée- qui stimulaient mon sexe à chaque va et vient de l'objet. Il le maniait tantôt lentement, tantôt de façon plus saccadée, me faisant geindre et haleter encore.

Sans que je m'en aperçoive vraiment au début, il avait commencé à répandre du jus qui coulait de mes lèvres autour de mon anus et faisait ainsi régulièrement l'allée et venue de la base du god, avec qui il s'immisçait légèrement pour mieux prendre le liquide, d'où il repartait en une caresse rectiligne vers l'orifice serré de mon cul, le cernant toujours plus près. Ces attouchements successifs sur mon œillet faisaient qu'il se dilatait malgré moi et c'est presque mon sphincter qui happa son doigt quand celui-ci le pénétra entièrement. Maintenant je sentais au creux de mon ventre le contact simultané du god et du doigt, qu'il remuait doucement, augmentant la pression de celui-ci quand il tirait le godemiché vers l'arrière pour l'enfoncer un peu plus encore ensuite.

Il exultait de me voir ainsi soumise, et j'étais fière et heureuse de le satisfaire. Je me familiarisais à peine au contact de son doigt qu'il faisait glisser en lieu et place son sexe, se plaquant derrière moi et empêchant toute résistance. Il avait gardé une main sous mon bassin et tenait toujours le god.

J'étais comme tétanisée, suspendue au bout de son dard. Quelques larmes m'étaient brutalement montées aux yeux. Il dut le sentir car il s'immobilisa quelques instants, juste assez pour me laisser reprendre mon souffle. Mais déjà il reprenait le lent va et vient de ses fesses, ponctué par le contact de ses couilles sur ma chatte. Sa main gauche plaquait ma nuque sur le plateau de la table, et il s'évertuait à venir buter au plus profond de moi. Etourdi par son propre plaisir, il maniait le gode avec moins de vigueur qu'au début, mais celui-ci s'animait de lui-même à chacun de ses mouvements. Je me rapprochais du moment où la météorite du plaisir exploserait en moi et se multiplierait à l'infini comme une constellation dans tous les pores de mon corps, le rendant aussitôt insupportable... mais Maître jusqu'au bout, il se retira et vint répandre sur mes fesses son foutre, précieux foutre, que j'aurais voulu boire jusqu'à la dernière goutte....

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